Ayez, je vous en prie, la bonté d’écrire à M
r Bahr à fin qu’il reponde à mes lettres, où si non qu’il me fasse envoyer son »
Star«
Il me semble que ce Monsieur connait trés peu la politesse qui enseigne que: si
écrire est un gentillesse – repondre c’est une devoir! Vous ne savez pas quel dommage est
pour moi ce retard de M
r Bahr. Je ne peux faire rien. Je vour recommande aussi et trés chaleureusement de vous
occuper de me faire avoir le droit de traduire les œuvres des jeunes auteurs
autrichien – J
e lu »
le voile de Beatrice« et je vous en fasse mes compliments. C’est en réalité une œuvre d’art belle et forte.
Voulez-vous m’autoriser à la traduire apportant de ci et de là quelques variatons
qui sont necessaires? Je respecterai naturellement les vers et la prose.
Pardonnez-moi si je vous dérange trés souvent, mais vous êtes si bon et si gentil
que je me prend avec vous des libertés –
Croyez-mois trés affectueusements
Votre
Lambri